American Dream Cars and Bikes, le rêve américain - 1/3
L'exposition temporaire American Dream Cars and Bikes à l'Autoworld de Buxelles proposait pendant la trêve hivernale de découvrir un panorama complet des plus mythiques voitures américaines des années 1949 à 1972. Ces témoins d'une époque fleurissante pour les modèles d'outre-Atlantique, étaient mis en scène avec en toile de fond une station-service, un drive-in et un cinéma en plein air dédié aux cinéphiles.
Ainsi, à l'étage, le public pouvait admirer la production des « Trois Grands de Détroit » Ford, General Motors et Chrysler, mais aussi les non moins légendaires outsiders de l'époque, Studebaker, Packard, Hudson, DeSoto... Et disséminé ici et là, la production d'après-guerre du célèbre fabricant de motocyclette du Milwaukee, Harley-Davidson, en étant immergé par les images et le son d'American Graffiti, Bullit, Easy Rider, ou encore des courses de dragster made in USA. Sous la grande verrière qui nous accueille au rez-de-chaussée, les modèles sportifs des années 60/70, côtoyés quelques voitures américaines emblématiques de l'exposition permanente du Musée. Vous y étiez ? Tant mieux. Sinon, c'est par ici la séance de rattrapage...
Cet éditorial du 27/01/18, a été mis à jour le 21/10/18
Le site de l'organisateur : http://www.autoworld.be

La première scénographie nous amène directement de l'autre côté de l'atlantique, dans une petite station-service situé le long de l'Interstate, ou les belles « bagnoles » américaines se bouscule.


La belle américaine flirte avec l'exotisme du littoral méditerranéen et le raffinement de la culture européenne.



Elle fut la première voiture de sport américaine de série a êtres dotée d’une carrosserie en fibre de verre et certainement la seule à avoir des portes coulissantes qui s'effacent dans les ailes avant. La production de l’audacieuse Kaiser-Darrin n'aura durée qu'un an et seuls 435 exemplaires furent produits, avant que l'entreprise soit rayer de la carte.






Construite sous forme de coupé ou de cabriolet autour d'un châssis monocoque, la petite Metropolitan doit ses lignes à Pinin Farina et sa mécanique à la marque anglaise Austin.






Ses lignes sont ultramoderne comparé aux modèles des marques proposés en 1950 !







